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Le Ronde, Roubaix, le Giro et le Tour…. Wout van Aert est en mode boulimique pour 2025 : “Et je peux aussi apporter quelque chose au Rwanda”. see more…

ByAondona Kin

Jun 14, 2025

Le Ronde, Roubaix, le Giro et le Tour…. Wout van Aert est en mode boulimique pour 2025 : “Et je peux aussi apporter quelque chose au Rwanda”. see more.

Pour 2025 : “Et je peux aussi apporter quelque chose au Rwanda”

En cette année 2025 marquée par des bouleversements géopolitiques, des mutations technologiques rapides et des enjeux climatiques croissants, une phrase prononcée avec humilité et espoir résonne profondément : “Et je peux aussi apporter quelque chose au Rwanda.” Cette déclaration, pleine de promesses, va bien au-delà des mots. Elle incarne une volonté de contribuer au développement d’un pays qui, malgré son passé tragique, s’est hissé au rang des nations africaines les plus dynamiques et inspirantes. Mais que signifie vraiment cette affirmation dans le contexte actuel ? Et surtout, que peut-on apporter au Rwanda aujourd’hui ?

Un pays tourné vers l’avenir

Le Rwanda d’aujourd’hui n’est plus celui des années 1990. Sous la houlette d’une gouvernance stable et axée sur la performance, ce petit pays d’Afrique de l’Est s’est transformé en une véritable vitrine du progrès africain. Kigali, sa capitale, est reconnue pour sa propreté, sa sécurité et son efficacité. Le pays investit massivement dans la technologie, l’innovation, les énergies renouvelables, l’agriculture intelligente et l’éducation.

Le Rwanda mise également sur une politique de transformation numérique ambitieuse. Des initiatives comme Irembo (plateforme e-gouvernementale), les centres technologiques, ou encore l’ambition d’être un “hub” technologique africain en témoignent. C’est dans cette dynamique que de nombreux jeunes Rwandais – mais aussi membres de la diaspora ou étrangers engagés – peuvent jouer un rôle décisif.

Apporter ses compétences : un engagement concret

Dire “je peux apporter quelque chose au Rwanda”, c’est reconnaître que le développement est un effort collectif. Qu’il s’agit de partager des compétences, des expériences, des idées, ou même simplement de l’enthousiasme et de l’engagement.

Par exemple, un ingénieur informatique peut contribuer à renforcer les startups locales à travers du mentorat ou la création de plateformes adaptées aux réalités rwandaises. Un professeur peut apporter des méthodologies pédagogiques modernes dans des écoles rurales. Un artiste peut transmettre les techniques de création contemporaine tout en valorisant la culture rwandaise. Un agronome peut accompagner les coopératives agricoles dans l’optimisation de leur production grâce à des méthodes durables.

La jeunesse rwandaise : moteur du changement

Le Rwanda compte une population jeune et dynamique, avide d’apprendre et de bâtir un avenir meilleur. L’une des meilleures façons d’apporter quelque chose est de collaborer avec cette jeunesse, de la former, de l’inspirer et de la soutenir dans ses initiatives.

Les incubateurs de projets fleurissent à Kigali et dans d’autres villes. Les projets communautaires se multiplient dans les zones rurales. C’est là que chacun peut trouver une place, un rôle, une contribution à apporter. Pas en imposant des solutions venues de l’extérieur, mais en co-construisant avec les acteurs locaux.

Apporter, mais aussi recevoir

Il serait réducteur de penser que l’apport ne va que dans un sens. En vérité, contribuer au développement du Rwanda, c’est aussi une source d’enrichissement personnel immense. On découvre une société résiliente, fière, qui a su renaître de ses cendres. On apprend à faire preuve de patience, d’humilité et d’innovation. On entre en contact avec une autre façon de penser le collectif, la solidarité et le progrès.

Une invitation à l’action

La phrase “Et je peux aussi apporter quelque chose au Rwanda” est une invitation. Une invitation à ne plus rester spectateur, mais à devenir acteur. Elle s’adresse aux membres de la diaspora rwandaise désireux de renouer avec leurs racines. Elle parle aux Africains de tous horizons qui croient en la solidarité panafricaine. Elle interpelle les citoyens du monde convaincus que le développement de l’Afrique est une affaire mondiale.

Conclusion

En 2025, le Rwanda ne demande pas la charité ni la pitié. Il tend la main à ceux qui veulent marcher à ses côtés, ceux qui croient en sa trajectoire, et ceux qui veulent s’investir, à petite ou grande échelle. Apporter quelque chose au Rwanda, c’est avant tout croire en l’humain, en la force des idées et en la puissance du collectif. C’est construire un avenir commun, brique par brique.

 

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